Le livre ancien est un vestige qu’il n’est pas facile de décomposer. Il y a une première fois...celle où l’on parvient à dépasser le sentiment de sacrilège pour se dire: “Ceci est ma matière première”.
Peu importe qu’il soit d’aspect luxueux ou qu’il ne paie pas de mine, le livre recèle forcément quelque chose, parfois caché dans les recoins. Je défais, découds, décolle, combine puis reconstruis.
"Si mon esprit était une maison, pratiquer le collage serait comme fureter dans le grenier, musarder à la recherche de trésors de famille imaginaires et - pourquoi pas - croire à ces histoires. Cette fois je vous invite au jardin, pour d’étranges découvertes…"
Aventurons-nous...