« Je suis un graveur mais "loin du monde de la gravure traditionnelle" pour reprendre Pascal Vignaud dans la revue Exporevue de Bruxelles. Je n'ai de cesse de faire bouger les frontières et de créer un art poétique se nourrissant de diverses expérimentations ».
Faire des impressions à partir de matériaux récupérés comme le balatum usagé ; mélanger des médiums ; passer de la feuille à la sculpture ou encore lors de performances publiques dans les rues ... Voilà ses préoccupations.
Multiples, plastiques et poétiques, elles s'inspirent de la mémoire, personnelle ou collective.